And the beat goes on...

DONC

Retour lundi, où je trouve les petits CVs de moutons à 5 pattes que nous cherchons depuis 5 mois (enfin, non, j'exagère, depuis septembre).
Petite signature, petit rendez-vous de dernière minutes (allo Mister candidat? vous m'intéressez. Vous êtes dispo en entretien uniquement ce soir? Et bin ok banco... non, non, j'adooooooore terminer à 20h), bref; tutto va bene.
Mardi, pareil. Je trouve d'autres perles rares, janvier c'est bon! mangez-en!

Mercredi, petit mail innocent d'une collègue qui est au siège de SuperSSII. "Salut AigleAvide, est-ce que TaCollègue et toi êtes dispo lundi prochain pour une réunion chez GrosseBoite?". Ah?
Petit coup de fil de moi vers elle où j'apprends que mon N+1 démissionnaire n'a apparemment pas transmis d'infos au reste de SuperSSII sur ce que moi et MaCollègue faisons ici.
Ils ne savent pas comment nous bossons, ce que nous dégageons comme chiffre, qui est qui.
Et ça fait 6 mois que nous sommes chez eux.

Classe.

N+1Démissionnaire a apparemment appliqué la théorie de l'éponge : l'information c'est le pouvoir, plus j'en garde plus j'en ai. C'est génial quand vous êtes Eisenhower, c'est un peu plus moyen quand vous êtes manager. Mais bon, c'est mon avis.

Donc réunion est fixée avec la collègue du siège pour lundi. Entre temps, mail plus que laconique de mon N+1Démissionnaire nous informant que son dernier jour c'est vendredi. AH?

Re-coup de fil. "Comment ça? On a 3 signatures en cours, personne ne sait ce qu'on est ?".
Réunion express le lendemain avec la collègue (nous apprenons au passage qu'elle va être notre N+1), le N+1 qui s'en va et nous. Elle va passer une journée par semaine, se planter sur le coin de bureau de MaCollègue sans PC ni téléphone pour nous regarder travailler. Soit.

Que sera, sera.